Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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lundi 24 juin 2013

DOMESTIQUE ET AUTRES

DOMESTIQUE

Dans le fantasme de la fessée et de tous ses dérivés, il y a plusieurs façons de jouer et Le jeu de rôle prend une bonne place.
Mais le jeu de rôle ce n’est pas simplement de se dire « moi je suis Zorro et toi le Sergent Garcia », on peut bien entendu l’entendre comme ça, cependant, pour beaucoup, le jeu de rôle tournant autour de la fessée ou d’autres châtiments corporels, est un univers très complet.

Il est évident que les protagonistes auront en premier le cœur à jouer de manière la plus crédible possible et pour créer une atmosphère et un décor se prêtant le mieux à l’acte, il y a les costumes.

Ça peut faire rire, mais pourtant la tenue vestimentaire est un formidable vecteur du jeu de rôle et du plaisir d’y être plongé.

Prenons quelques exemples :

Un jeu de rôle assez courant est celui de la femme de ménage, de la cuisinière ou de la bonniche suivant l’appellation que chacune et chacun lui prêtera.

Un joli petit costume peut donner au jeu un certain réalisme, une simple apparence, certes, mais qui enivre et donne une belle couleur au jeu avant de l’imprimer sur les rondeurs fessières de la fautive.



Si le maître de maison sait tenir son rang et, comme dans le dessin, met en évidence l’instrument de correction, on imagine l’excitant frissonnement provoqué par la crainte et le désir.
Il est bien évident que ce n’est pas forcement le mâle qui joue le maître de maison, l’inverse est également de mise.


Il n’y a aucune obligation réglementaire de tenue, on peut aussi aimer le simple tablier sans autres artifices. Chacune et chacun choisira selon l’envie du moment et cela permet aussi de ne pas tomber dans la routine. Le tout est de trouver la bonne improvisation, car il ne s’agit pas non plus d’apprendre un script par cœur.



Il faut une certaine crédibilité en ce qui concerne les sanctions, mais ça, si les partenaires sont bien dans le jeu, il n’y aura aucune difficulté à trouver une justification à la punition. Personne ne doute que le consentement engendre la provocation.



SCOLAIRE

Un grand classique du jeu de rôle. Relativement facile en ce qui concerne le décor, une pièce, un bureau, une ou deux petites tables, des chaises, éventuellement un tableau noir (facultatif), une carte ou une représentation historique sur le mur et voilà une salle de cours très acceptable.

Pour ce qui est du costume, le choix est large et il n’est point d’obligation de se ruiner dans des boutiques spécialisées.

Pour les femmes, la jupe plissée très courte et les longues socquettes sont déjà assez explicites et la culotte genre petit bateau ajoutera la touche coquine.
La ou le professeur n’ont d’autres souhaits que d’être vêtus de manière stricte pour imposer l’autorité.
La fessée déculottée en classe est bien un châtiment approprié, mais il en est d’autres qui agrémente parfaitement le jeu scolaire, comme le coin, la mise à genoux main sur la tête, les lignes etc.
La main, certes est l’outil punitif de base, mais les profs ont également la redoutable règle plate facile.





Pour les hommes élèves ou étudiants, la culotte courte me parait de bon ton et éventuellement la blouse. D’accord, je n’ai pas encore fait le dessin mais ça viendra, je compléterai cette rubrique de temps en temps.



 MÉDICAL

C’est un bon jeu de rôle que la visite médicale assortie bien sûr de bonnes fessées à la discrétion de la ou du médecin.
Pas besoin de costume particulier pour la ou le convoqué, juste d’avoir des sous vêtement et pour les puristes, ceux de coton blanc.
Ce peu sur le corps fait naitre une terrible sensation de vulnérabilité devant une doctoresse ou un docteur.
Il est certain qu’il sera très facile au médecin de les ou les faire retirer pour une auscultation plus approfondie. C’est l’improvisation des protagonistes qui commandera.




J’oubliais, pour celle ou celui qui joue le docteur, une blouse blanche est du meilleur effet ainsi que quelques accessoires médicaux qui peuvent par leur utilisation créer une certaine gêne voir de la honte.


mercredi 19 juin 2013

COUP DE GUEULE

C’était le mardi 18 Juin 2013, je regardais la télé et un sujet du jour éclairait le petit écran. Ce n’était pas l’appel formulé par le général qui était disserté mais l’appel à l’interdiction de la fessée dans l’éducation des enfants. Les personnes interviewées donnaient chacune leur opinions et affirmaient que la fessées ainsi que les châtiments corporels donnés à un enfant pouvaient durablement le traumatiser et influer sur la sexualité. Certaines allaient même plus loin, jusqu’à qualifier l’acte de criminel. d'Autres débitaient une morale sucrée aux accents surannés. Il en ressortait qu’il fallait absolument légiférer et interdire la fessée et autres châtiments corporels envers les enfants.



S’il est vrai qu’il faut à tout prix éviter de frapper un enfant parce qu’en tout état de cause, la violence ne peut être une méthode éducative et qu’en plus elle ne donne rarement, voir jamais de bons résultats. S’il est vrai qu’elle peut être durablement traumatisante et influer sur la sexualité, et je sais de quoi je cause, il reste que les discours sur le sujet sont aussi inutiles que de marquer « Fumer tue » sur un paquet de cigarettes. Non que dans le fond ils ne sont pas justifiés, mais divulgués dans un contexte qui ne peut aucunement les faire briller d’une réelle valeur.
La violence ne germe que dans un monde qui prône la violence comme unique manière de résoudre les problèmes et c’est bien le cas du notre.



On dénonce une méthode dite éducative qui est certes condamnable et dans le même temps, celles et ceux qui montrent du doigt, qui accusent, qui réclament une loi contre les châtiments corporel infligés sous divers prétextes aux enfants n’en comprennent pas toujours les racines. Celles et ceux qui vont la voter, dans leur majorité, ferment les yeux sur les guerres engagées qui dans leur feu, leur crimes et leurs exactions, font bien plus de victimes parmi les enfants et sont bien plus traumatisantes qu’une fessée. Je dis, qu’ils ferment les yeux pour être encore gentil car, ils sont souvent signataires des déclarations de guerre et quand on fouille les vraies raisons des conflits, il y a de quoi être révolté. Elles et ils ferment les yeux sur un programme qui s’engage à rendre nos enfants et tous ceux à venir, esclaves d’un système et de gens qui l’entretiennent ayant pour unique but de protéger leur privilèges et de continuer à s’enrichir au détriment du plus grand nombre. Elles et ils ferment les yeux sur tous ses enfants qui par des parents appauvris, ne pourront plus être soignés convenablement. Elles et ils ferment les yeux sur une spéculation qui engendre la famine dans les familles dont les enfants sont les premières victimes. Elle et ils ferment les yeux sur le pillage de notre planète et la destruction de notre environnement qui anéantira tout avenir pour les enfants du monde entier. Je pourrai aussi invoquer toutes les abjectes dégradations commises envers les enfants dans certaines institutions et volontairement camouflées à l’opinion publique. Ainsi je pourrai volontiers allonger la liste de tout ce que les enfants subissent mais cela ne ferait qu’inutilement alourdir la note.



Loin de moi, faire l’apologie de la fessée et des châtiments corporels administrés aux enfants et qui sont contraires aux devoir de protection, d’éducation et surtout d’amour qu’on leur doit. Seulement, je m’insurge contre cette hypocrisie visant à culpabiliser une partie des parents comme on culpabilise les fumeuses et fumeurs, celles et ceux qui roulent un peu au dessus des limites de vitesses, celle et ceux qui n’économisent pas l’eau, qui ne trient pas leur poubelles etc. Culpabilisation ciblée qui ne vise qu’à camoufler ce qu’il y a de plus odieux. Culpabilisation qui ne vise à ne surtout pas régler les vrais problèmes, culpabilisation qui protège tout un système absolument ignoble et délétère en dénonçant des lampistes.

Alors interdire la fessée, oui ou non ? L’interdiction est une erreur mesdames et messieurs les moralisateurs. Une erreur parce que tout interdit n’a jamais donné de bons résultats.
Et que définit-on par fessée ou châtiment corporel ? Faudra-t-il  jeter en prison toutes les mères ou les pères qui auront sur un coup de colère ou de peur, balancé une claque sur les fesses de leur progéniture ?


Parce qu’il y a des réflexes qui sont difficilement contrôlables et qui ne sont aucunement prémédités dans un but de faire durablement du mal. Est-ce un abus ou davantage une maladresse emportée qui parfois fait autant de mal à celle ou celui qui donne qu’a l’enfant qui reçoit ?
Ce n’est pas une loi ou des lois qui feront qu’un jour nos enfants pourront s’épanouir sans crainte de violence ou d’abus à leur égard, c’est un changement radical de tout un système que nous avons trop pris l’habitude de définir comme une fatalité. Juste une question de réflexion, d’amour et d’intelligence, mais tout cela non dans un détail mais dans la généralité.


Regardons-nous dans une glace, il est grand temps que nous arrêtions de mettre des rustines sur une embarcation pourrie, construisons pour nos enfants un vrai et beau navire.

samedi 15 juin 2013

C'ETAIT UN JOUR

Au début ça fait bizarre quand on réalise, on ne se reconnait pas, qui est dans le miroir et on se demande qu’elle maladie on a bien pu attrapée ou par quel mauvais sort on a été frappé ?
 Y’a plein de gens autour, des parents, des parents des parents, des cousines et cousins, des tantes et des oncles, parfois des sœurs où des frères et même plus si on fréquente les églises. Il y a aussi des copines, des copains et tout plein d’autres. Et là, on est tout seul et on se sent s’écarter, s’éloigner, on se sent à part.




On réfléchit, on pense on repense, on tente de comprendre, mais on ne comprend rien parce qu’on rejette… On ne comprend rien parce qu’on ignore…. On ne comprend rien parce que tout ce monde qui tourne autour semble maintenant étranger.
Petit à petit on se fait une double identité à défaut de mieux ; en attendant des jours meilleurs.
Les jours passent et la puissante pulsion des envies vous tiens entre ses mains. Mais pourquoi moi ? Se dit-on en consultant les aiguilles du cadran qui tournent et tournent. Peut-être ferait-on mieux de se dire « pourquoi pas moi ? » Après tout.

Alors on cherche l’âme sœur avec discrétion en essayant de ne pas se tromper, on cherche et en attendant on s’amuse tout seul. Parfois on paye pour être deux, mais on achète surtout la déception.

On cherche, on cherche jusqu’à trouver au fond d’un couloir discret, derrière les paravents, dans un autre monde caché.

Mais c’est dur parce que tout autour les gens du plein jour ne sont pas comme vous.


Pas comme vous…. Du moins c’est ce qu’ils disent et qu’on veut nous faire croire.

mardi 11 juin 2013

POUR ELLIE

Voilà, j'ouvre cette rubrique réservée aux dédicaces. Parfois dans les commentaires on y trouve entre les lignes des petits souhaits, alors ce premier, c'est celui d'Ellie fait dans un commentaire du "Clavier spécial Placardemike".

Ellie, whaooo, c'est de la balle la môme, ben ouais, c'est quand même la créatrice du blog NEVER MIND. On ne peut rien lui refuser.