Bonjour ou bonsoir.



MON PETIT PLACARD SECRET
. Depuis un bon moment j'avais envie de montrer mes petits dessins et montages imaginés depuis les plus profondes cases excitées et hallucinées de mon esprit. Fantasme avec ou sans "S", selon comme ça vient me titiller... La fessée et quelques de ses multiples satellites en sont les thèmes principaux.

J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !

Petits trucs



A droite j'ai placé une
TABLE DES
MATIÈRES, elle vous permet de choisir des thèmes à visiter selon vos préférences.


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vendredi 30 mai 2014

LE CHOIX DE L'ARENNE




Tu étais un brin tapageuse.
Ne réfutes-pas, j’étais là !
On peut même dire, racoleuse.
Pas trop, juste un chouia.




Suffisant pour l’orage.
Celui qui gronda
De colère au passage
Pas sage, tu n’étais pas.



Et ce fut la grêle
Chaude de cuir
Sur tes fesses frêles
Tu ne pouvais fuir.



Certes une belle fessée
Ton corps se tortillais
Méritée et bien pesée
En cadence tu chantais.



Ce n’était plus punition
Je t’entendais trahir
Tu avais un autre ton
Je te sentais jouir.




samedi 24 mai 2014

DÉBOIRE AVEC MODÉRATION (3)




NUMÉRO DE CIRQUE.

C’était en 2011 et j’assurais du mieux que je pouvais mon rôle de cobaye afin  qu’une apprentie fesseuse soit initiée aux arts de la fessée. (Voir le récit du 6 Janvier 2014 « Cobaye » dans la rubrique « Il était une fois »)

Au pied des Pyrénées j’étais choyé en ce qui concerne les fessées. Je ne me plaignais pas, croyez-le ; de toute façon je n’en avais pas l’intention. Rendez-vous compte, tous les matins j’avais des tartines grillées et beurrées gentiment chapardées par ma fesseuse au Maître. La vie de château !
Bref, tout allait bien dans le meilleur des mondes et Madame l’apprentie drivée par le Maître progressait vite et bien.
Ne pensez-pas que c’était leçon de châtiments 24/24 ; que non, il y avait les récréations et cette merveilleuse région offrait une cour sans mur ni grille autant immense que magnifique.

Donc ce matin là, nous avions projeté d’aller en promenade au cirque de Gavarnie. C’est vrai le ciel n’était pas d’un beau bleu et le soleil était bien au dessus des nuages gris, mais qu’importe, il faisait doux et aucune pluie n’était annoncée.



Une fois sur place, nous voilà empruntant la voie piétonne qui conduit au sentier menant au cirque. Comme pour tous les abords d’un site préservé, avant d’accéder au parc la voie était bordée d’un grand nombre de boutique aux étalages et rayons presque similaires, à l’exception des terrasses de café qui proposent liquides et petits plats plutôt que des souvenirs pas toujours fabriqués maison.
Chemin faisant entre ces devantures et produits bariolés exposés aux touristes, je titillais l’apprentie fesseuse. Juste quelques mots un peu chambrés comme on souhaite un bon vin rouge pour accompagner le fromage. Le maître et le compagnon de Madame en rigolaient, mais cette dernière, même si mes facéties provoquaient son illuminé sourire, préméditait sans doute une vengeance. Bien entendu, méfiant je la surveillais du coin de l’œil ; on ne sait jamais avec les dames, elles sont parfois imprévisibles.
Je ne m’inquiétais pas trop, les quelques touristes qui nous entouraient m’offraient une protection. Nous n’étions plus en privé et je ne risquais rien. En revanche, une fois dans le parc boisé, il me faudra redoubler d’attention, prévoyais-je. L’apprentie serait bien capable avec la complicité du Maître de m’attraper et m’entrainer à l’écart du tracé pour m’en flanquer une en pleine nature. Une fessée bio en quelque sorte.
Que des regards étrangers fussent observateurs n’encombraient pas Madame et sans doute faussement lassée de mes amusants propos, elle attendit sournoisement un peu moins de vigilance pour en trois pas rapides s’approcher assez près et me balancer une claque bien pesée sur le fond de pantalon rebondis de mon postérieur. Je sursautais bien plus de stupeur que de douleur.

- Méçavapanon ?!! Que je rétorquais un peu vexé d’avoir été claqué en pleine rue.

- Cela t’apprendra à te foutre de moi et ne te plains pas, tu mériterais d’avantage une bonne fessée. Me retourna-t-elle en ajoutant : N’est-ce pas mesdames ? Prenant à témoin les deux commerçantes sur le pas de leur boutique.

Incroyable réplique d’une des dames affichant un plein sourire teinté de diabolisme.

- Parfaitement, et si vous voulez nous pouvons vous donner un coup de main. Dit-elle en me regardant fixement.

Grand éclat de rire autour de moi venant du Maître, du compagnon de Madame l’apprentie et quelques rictus de la part du peu de touristes présents dans la rue.
Moi, mon visage genre bouillote en ébullition et plus que probablement de couleur rouge, je me rapetissais enfonçant le plus possible ma tête dans mon col et allongeant mon pas pour prestement fuir l’endroit. Je ne me retournais pas, mon regard uniquement fixé sur le sentier qui allait vers la montagne et la nature qui l’absorbait au détour d’un pont m’offrant la dissimulation et le salut.



Un peu plus tard pendant une pause bien loin des boutiques dans les auréoles éphémères de lumière que le soleil volait aux ombres fraîches des nuages, nous rigolions ensemble de l’anecdote. Amusante certes, mais il y avait au fond de moi comme un blanc qui n’avait pas été comblé. 



Bien entendu sur l’instant recevant la claque sur le cul, j’avais été percuté d’un autobus bondé de honte comme aux heures de pointe et je me suis enfuit avant d’être laminé sur la chaussée. Réaction naturelle, mais en y repensant ; si j’avais laissé les évènements m’emporter que ce serait-il passé ? J’imaginais entraîné dans l’arrière boutique entre mon Apprentie fesseuse et les deux commerçantes. Je me mettais en image ce lieu et la porte refermée derrière moi nous isolant de tout. Je me filmais tiré par une oreille par l’une, déculottée par l’autre puis basculé en travers des genoux de la troisième avide de me flanquer la fessée. Je projetais qu’à chacune leur tour elles m’auraient rossé se régalant de mes rondeurs incendiées, riant de mes plaintes désordonnées.




En fin d’après midi à notre retour dans cette rue, nous sommes repassés devant la boutique, mais contrastant avec une matinée calme, le présent était bruyant et surpeuplé. Lorsque je me suis installé dans l’automobile, me remontait l’amère impression d’avoir raté quelque chose.

lundi 5 mai 2014

JE VOUS LE DEMANDE




Racontez-moi en quelques lignes ce que vous inspire cette photographie.

Je vous dirais celle ou celui qui est le plus proche de la réalité.

Ça n'empêche nullement de délirer.