Bonjour ou bonsoir.
J'espère que vous prendrez plaisir à parcourir ce blog tout en rappelant que celui-ci est STRICTEMENT INTERDIT AUX MINEURS !
Petits trucs
.
dimanche 25 décembre 2016
SERVICE PUDIQUE
Je dédicace ce dessin à mon ami Ours en lui souhaitant, pour la nouvelle année à venir, le meilleur de tous ces vœux ainsi que ceux de tous ces amis.
mardi 20 décembre 2016
PUNITIF
Photo d'archive, au moins trois décennies. Avec le temps va tout s'en va, même les plus belles rougeurs....
lundi 5 décembre 2016
dimanche 27 novembre 2016
samedi 29 octobre 2016
DE EST A AVOIR
Quelle exclamation, quelle exaspération, quelle révolte,
auraient, en regardant cette série de photographies,
certaines ou certains d’entre
les humains ? J’entends, toute jeunette qu’elle est, qu’elle n’est plus en
âge d’être punie de la sorte, sans doute en raison, qu’il convient que la
fessée soit réservée aux fessiers des enfants, comme une convenance, celle du
droit de châtier physiquement les plus vulnérables. Mais, je me dois, à ces
culs bénis par une chasse d’eau mal réglée, à celles et ceux qui râlent en oral
la morale, du moins celle qui couvre d’un voile immaculé, le noir qu’ils
dissimulent, quelques lignes.
Témoin de la fessée, je le fus, ainsi que du pourquoi, et,
pourtant humainement sensible, je ne suis point intervenu en faveur de la belle
adulte afin de lui éviter cette dégradante sentence, d’autant plus, qu’elle fut
administrée devant témoins. Lâcheté ? Point du tout ! Excitation ?
J’avoue que j’en étais titillé et croyez qu’elle m’était agréable.
Cependant,
une irritation érectile ne pourrait justifier à elle seule, de claquer un cul,
si avenant soit-il. Il est évident, que si l’injustice était de mise ce jour-là,
à la barre, j’aurais témoigné en faveur de l’accusée.
Qu’entends-je au fond ? Que la fessée déculottée est
une punition avilissante ! Certes, j’en conviens, elle l’est. Ajoutez, mesdames
et Messieurs les bien-pensants, qu’en plus de l’humiliation, la fessée fait
mal. Remarquez, en passant, ou repassant, que c’est justement dans le cahier
des charges de la fessée.
Donc, preuve photographique à l’appui, la victime subit un
châtiment dégradant et douloureux devant témoins. De toute évidence, les
protagonistes mériteraient de se retrouver au pénal. Mais pour causer à monsieur
le juge, faut-il que soit déposée une plainte de la victime, et, suite à ce
cuisant épisode, il n’y eut point de procès-verbal et si, main courante il y
eut, l’unique fut celle du bourreau sur la croupe de la suppliciée.
Aurait-elle eu peur des représailles ? Pas le moins du
monde et la raison est très simple. Je me doute que je vais encore choquer les
quelques qui, les mains jointes, regardent vers le plafond, sans doute de peur
que le ciel ne leur tombe sur la tête. Alors voilà, en premier, la jeunette
avait mérité une sanction. D’accord, elle aurait pu être privée de dessert, de
télé, ou simplement engueulé, mais grande aurait été sa frustration. Pourquoi ?
Mais tout simplement parce que pour la belle, ne pas être punie par la fessée aurait
été la pire des tortures.
Comprenez-vous, que l’humiliation d’être fessée cul nu
devant témoin et ses fesses offertes aux torrides claques, lui procure du
plaisir et parfois, la jouissance.
D’ailleurs, si vous pensiez le contraire,
vous ne seriez pas entrés sur ce blog.
dimanche 18 septembre 2016
ALLEZ SAVOIR POURQUOI ?
Qu'elle soit d'une maladresse ou délibérément provoquée, je ne sais pas vous, mais moi, de savoir que je vais recevoir une bonne raclée, m'a toujours beaucoup excité.
C'est dingue ça !
mercredi 31 août 2016
D'ART, MAIS SURTOUT D'ESSAIS
Comme j’en discutais un jour, autour d’un verre et d’une
belle avec l’ami Waldo ; en matière de dessins et photos sur la fessée,
tout a été fait et pour être un brin original, il faut franchement se creuser
les méninges. Le terrassement, ce n’est pas mon truc et si je me touche le
crâne, c’est juste pour le gratouiller. D’ailleurs, question gratouille, je
préfère me gratter les burnes, c’est plus agréable… Non je n’ai pas de morpion !
Je ne sais pas pourquoi, sans doute parce que parfois nous
avons des idées à la con, je me suis dit « tiens, pour une fois sur mon
blog, si je tentais un dessin pas comme d’habitude. » Autant vous dire qu’il
faut que je sois vraiment dans un état second pour gamberger de la sorte et
encore bien plus, pour m’y atteler. Dans ma tête, je pousse un peu le bordel
afin d’y faire un peu de place pour un plan vierge. Me voilà donc à projeter
sur l’immaculé, un diaporama de scènes de fessées aux angles incertains. En
même temps, comme ça vient, je crayonne vite fait quelques trucs sur mes
feuilles et, dans ce méli-mélo de traits, je tire un semblant de projet…
J’hésite encore à le choisir, mais comme les autres étaient
plus compliqués, mes tergiversations ne dureront pas plus, qu’inversement, ma fainéantise
est éternelle. Je m’embauche donc, à user de la mine sur le grain, malgré mes protestations,
invoquant la semaine des 35 heures, les repos compensatoires et mon refus d’heures
supplémentaires, depuis peu, ratiboisées à 10 %.
À chaque coup de mine et coup de gomme, je me chuchote « Mais
pourquoi t’es-tu lancé dans cette galère, franchement tu te prends pour Dali ? »
Justement non, alors pourquoi je poursuis mon crobard ? Mais c’est que j’ai
du respect envers mon public moi ! Quand même, plus de 536 000 visites
de gens de partout où je n’y suis pas, ce n’est pas rien ! Toutes ces
visiteuses et tous ces visiteurs, ils ne cliquent pas sur mon blog pour voir du
Dali, mais du Mike. Et oui, simplement du Mike, et d’habitude, le Mike, il
évite de trop se casser la nénette… Ce n’est pas tout à fait vrai, mais quand
même un peu. Faute avouée, faute entièrement pardonnée, à moins qu’une dame
estime que je mérite, dans ce cas…
Ce n’est pas si simple, surtout les proportions, et cette fois,
je n’ai pris aucun modèle. À la quatrième tentative, je tente un godet de
whisky… Ça fait une plombe que je gribouille, j’ai bien le droit d’une
récréation ! N’empêche que la pause est salutaire d’ombre naturelle. La
cinquième esquisse est à mon goût, autant que le whisky (mais non pas cinq pour
le breuvage, du moins pour le moment).
Hop, une feuille de calque et je copie mon dessin en
modifiant un peu, puis je scanne. À l’écran, j’ai une autre vision et elle me
souffle, que ce n’est pas terrible. À ce moment-là, je suis comme un cycliste
amateur au pied d’un col pas porteur. C’est, soit je jette le vélo dans le
fossé et je rentre chez moi regarder une série américanoséabonde, soit je reste
en selle et j’appuie sur les pédales. Un second verre de whisky me conseille de
grimper. J’ai la main droite dans le piège à souris…
C’est le jeu des mille erreurs. Je bricole, je rafistole, j’opère
les personnages sans anesthésie, je soupire… Ça fait deux heures que je suis le
cul devant mes feuilles, mon calque et mon ordinateur.
Bordel, les godasses, c’est toujours un problème ! J’ai
un truc, je pose sur ma table des vraies chaussures, que je positionne à peu
près comme sur le dessin et je m’en sers comme modèle. J’évite les pompes avec
lesquelles je viens de marcher, leurs vapeurs ne se marient pas avec le parfum
du whisky.
Dans un dessin, il faut avant tout contenter l’œil, je
fignole… Voilà, ce n’est pas loin de ce que je voulais. Reste à mettre en
couleur et peindre un fond.
Pfou, je libère la souris et je sais déjà, que demain, je
trouverai un million de défauts à ce dessin.
vendredi 5 août 2016
CONFIDENCE SUR L'OREILLER
Mes rêves sont souvent décousus, rarement joués d’un unique
fil conducteur. C’est, en général, une histoire qui patauge dans des méandres
capricieux d’une rivière qui ne va jamais à la mer. Délires enfantés par un
cerveau en récréation. Que mes chimères nocturnes soient, angoissantes, mystiques,
farfelues, joyeuses, mélancoliques, sexuelles etc. je n’ai aucun pouvoir
de gestion, je subis, c’est tout ! Dans un même rêve, je peux être en rire
et, quelques images plus loin, dans la plus sombre des tristesses.
Parfois, je me souviens d’un rêve à mon réveil, mais le plus
souvent, c’est durant la journée qu’un petit indice, objet, situation, bruit ou
odeur, me donne le « la » pour reconstituer la partition du dernier
songe.
Ce qui me plaît le plus, c’est de raccommoder un rêve
excitant, nul besoin d’attendre un indice, habituellement, ma culotte de pyjama
ou mon drap me témoignent d’un songe particulièrement bandant et il est rare,
que celui-ci ne me revienne pas.
Tout commence dans la confusion, je tombe de je ne sais où,
dans un monde pas encore achevé. Y suis-je arrivé par une porte, un vestiaire,
un escalier, en voiture ou tombé du ciel, je l’ignore. Je suis dans un lieu
sans texture définitive me privant de savoir où et pourquoi j’y suis…
Je n’ai plus de vêtement, pour quelle raison et qui m’en
aurait privé ? Je sens sur mon corps nu une vulnérabilité qui me fait
frissonner et bander. Je ne suis pas seul, mais, au présent, si toutefois il y
a un présent, je ne vois nul autre que moi. Cette présence impalpable me menace
d’un tourment qui n’a rien de justifié, mais qui ne me paraît pas anormal. La
crainte me possède sans pour autant me suggérer de fuir ce lieu qui, petit à
petit, se referme autour de moi.
Un trou noir, une absence, puis, par l’invisible, mes mains
liées au poteau sans, de ma part, la moindre rébellion. Maintenant sans
défense, mon regard angoissé inspecte. J’ouvre la bouche pour appeler, mais
aucun son n’en sort. Une silhouette encore vague projette son ombre froide sur
ma petite personne. Je la sens comme un reproche… Elle s’affirme, s’approche tenant
dans une main l’instrument de mon supplice. Mon pénis se dresse plus dur,
unique partie de mon anatomie qui ne soit pas affolée.
Autour de moi, il n’y a plus d’horizon, je suis enfermé loin
de tout. Entre ces pierres qui ne laisseront passer aucune de mes prières, il n’y
a qu’elle et moi. L’odeur du cuir pénètre mes narines et nul doute, que sous
peu, je sentirai la morsure du fouet.
Que me reproche-t-elle pour me condamner à un si sévère
supplice ? Serai-je un serviteur de sa demeure, qui, par maladresse,
aurait cassé de la porcelaine signée ? Serais-je un malandrin ayant volé
quelques pommes dans son verger ou, aurais-je, d’un regard vicieux, tenté
de la surprendre dans son bain ? La cause ne me revient pas, mais
étrangement, je ne cherche aucune excuse, conscient que je mérite la sanction.
La lanière s’enroule autour de mon corps y imprimant sa
marque de feu. Un rêve ne peut pas être douloureux, cette brûlure imaginée n’est
que ce que mon esprit invente, mais quel bonheur de me tordre sous les coups.
Quelle divine sensation de sentir le plaisir monter jusqu’à la cime de mon pénis,
puis, par petits jets, engluer mon bas-ventre.
J’ai consommé, je m’évanouis par
un escalier qui me remonte à la surface, d’un jour, d’une vie, qui n’est pas un
rêve.
dimanche 31 juillet 2016
samedi 9 juillet 2016
mardi 28 juin 2016
A VOTRE SERVICE.
Ben oui, y'a des fois où les amis(es) avec qui je suis, ont de drôles d'idées. Ne croyez pas que je fus désigné par un coup de dé malheureux, ou d'un hasardeux tirage de courte paille. Que non, saperlipopette, ils m'ont toutes et tous pointés du doigt en me montrant le petit tablier, qui, faut avouer, va bien mieux à une belle, qu'à un mec.
Je franchis aisément le pas, en prétendant que c'est un manque de goût caractérisé !
Donc, involontaire, mais d'office sans le "in", me voilà au service de ces dames et du maître de maison.
Que ne faut-il pas subir pour faire plaisir.
Je franchis aisément le pas, en prétendant que c'est un manque de goût caractérisé !
Donc, involontaire, mais d'office sans le "in", me voilà au service de ces dames et du maître de maison.
Que ne faut-il pas subir pour faire plaisir.
jeudi 28 avril 2016
CHUTE DE REINS
Je regarde toujours avec un petit sourire en coin, les nouvelles astuces promotionnant les régimes minceur. C'est fou ce que les publicistes ont de pauvreté d'imagination. Cela fait des décennies qu'ils vendent la même bouillie en ne modifiant que les couleurs et l’emballage. A mon avis, vu la saveur des produits vantés, éventés de goût, il y a de forte chance que la cure se termine au resto du coin devant un bon cassoulet du patron. Et hop, remettez-moi un supplément de chantilly !
Le meilleur moyen de garder sa ligne, c'est de payer sa facture de téléphone. (Mais non je déconne.)
A moins que ce soit un embonpoint relevant d'actes médicaux, le plus sensé, c'est de griller autant de calories qu'absorbés. La fessée est un des moyens efficaces, tant au niveau de l'exercice physique, pour le fesseur comme pour la fessée, mais également pour le massage régénérant du fessier et de la paume de la main. (Pour les deux mains, je conseille d'être ambidextre).
L'avantage de la fessée, c'est que cet art sportif, peut se pratiquer aussi facilement que les dominos. Nul besoin d'être diplômé de H JE SAIS ou d'avoir obtenu une mention à l'épreuve sportive du BAC.
La fessée se pratique n'importe où... Quand je dis "n'importe où" comprenez qu'il n'y a pas besoin d'infrastructures spéciales, donc inutile d'investir dans un abonnement de club sportif. Cependant, pour pratiquer la fessée, mieux vaut éviter certains lieux publics trop fréquentés, choisissez plutôt le discret d'un endroit privé, ou, si vous aimez flirter avec la nature, les sous bois isolés, les vallées perdues etc.
Attention, la fessée est, certes un art, mais également un exercice physique, et si vous désirez le pratiquer de manière intensive, je vous recommande un minimum d'échauffement et d'assouplissement, cela, afin de prévenir des chutes.
dimanche 10 avril 2016
A VOS MARQUES & PENCIL !
Comme je suis un chouia fainéant, bref, que je n'ai pas envie de fatiguer ce qui me reste de neurones pour trouver les bons mots et élaborer des phrases chiadées, je vous laisse le soin de légender ce que vous inspire cette photo.
mercredi 30 mars 2016
samedi 5 mars 2016
CAVE
Comment chacune et chacun se représente une cave ? Comme un lieu humide et sombre, où sont remisé d'inutiles objets que les divers habitants ont abandonné au dessous des lieux de vie depuis que la demeure fut dressée. Aussi un asile où on descend pour ne plus entendre le fracas du dehors. Les caves sont parfois l'atelier où les outils voisinent les pots de confitures et les jambons. Moi je vois plutôt la cave comme un dessous d'ivresse. comme un comptoir clandestin qui aligne des bouteilles poussiéreuses aux naissances et cépages imprimés. Mais mon ivresse n'est pas forcement de siffler jusqu'aux culs des bouteilles, car il y a au bas des escaliers, des caves qui ne m'enivrent pas de leurs liquides, mais de l'angoissante excitation d'y être conduit, pour, hors du monde rangé de morale, être la consentante victime d'une ou d'un...
mardi 9 février 2016
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